«Andorre» Andorre, cité austère et mystérieuse, Tel un nid d'aigles, au creux de la montagne, Tes rues, vieille Andorre, sont pavés de grés, Grand feu dans l'âtre,provisions au grenier, Emergeant de ton cirque de pierres grises, Ingénieux,audacieeux,parfoiss téméraires, L'air que l'on respirait,jadis,à Andorre, A-t-on souvenir des bruits familiers d'antan, Nous n'entendrons plus des cloches, les clochettes, A cette dure et triste réalité, (...) La neige est tombée, douce et imaculée Que vous dirais-je de plus? Je ne le vois pas... Este poema foi escrito por H.Riquet, "un vieux poète" francês que escreveu este poema quando passou alguns dias em Andorra.Este poema foi oferecido ao meu irmão quando esteve em Andorra,ele pediu-me para o guardar e eu...coloquei-o aqui neste meu blog.Sei que poderá não ser fácil compreendê-lo,mas para mim o francês é a minha segunda língua.
Telle, du moins, la décrivait-on autrefois.
Mais son évoluition,lente et heureuse,
L'a rendue joyeuse et prospère,à la fois...
N'y avaient accès que les hardis muletiers.
Songeant au passé, la nostalgie nous gagne,
Et, du progès, on se passerait volontiers...
Dans tes maisons, aussi solides que le roc
Pour supporter le froid,
On se serrait de près,
Et moines, en passant, venaient chauffer leur froc...
Pour tous grands et petits, de quoi passer l'hiver,
Assez pauvrement, on ne saurait le nier,
Sans, pour autant, se mettre le coeur à l'envers...
Tel un papillion qui sort de sa chrysalide,
Andorre, tu nous enchantes et tu nous grises,
Dans ta splendeur juvénile, et sans rides...
Les Architectes qui ont bâti Andorre
Ont montré, amplement, leur savoir-faire
Et il est vraiment juste qu'on les honore...
De tous élèments nocifs,était débarrassé.
Aujourd'hui, chacun le sait et le déplore,
L'air pur, nous devons, c'est certain, nous en passer...
Doux à entendre, que l'on ne peux oublier...?
Remplacés, de nous jours, par des bruits irritants,
Assourdissants, qui nous rendront fous,à lier...
Mais, des autos, nous entendons les rugissements.
Nous n'entendrons plus les joyeux airs de fête,
Mais, des routes, nous parvient un sourd grondement...
Impuissante, Andorre n'a pû échapper.
A-t-elle, vraiment,perdu sa tranquilité...?
Oui, et elle cherche, en vain, à la rattraper...
En flocons serrés, blanche neige est tombée,
Recouvrant, de son manteau, épais et moelleux,
Les monts et les plaines, les pitons et les creux...
A écrire ces vers, je me suis amusé
De mon poème,c'est la fin, n'en doutez pas,
Car , en toutes choses, il ne faut abuser...